Les plus belles années d’une vie seraient de 18 à 30 ans, mais qu’y a t-il de si particulier dans cette période qui la rende si désirable ? Pour la plupart elle rime avec apprentissage, découverte, déception, folies et même douleur, cette période fantasmée par les plus jeunes et regrettée des anciens est simplement celle où nous cherchons notre identité. En toile de fond : les études, l’université, les écoles, les stages, les boulots. Tout cela a longtemps façonné des générations entières qui tentaient de se conformer au milieu destiné ou imposé. Les choses ont changés. Notre génération a été élevée au coeur des problèmes sociaux, économiques, et écologiques par les générations auteures de ces dérèglements. Mais surtout dans la richesse d’un monde mondialisé où les cultures n’ont plus de barrières pour évoluer. Muée par l’insouciance de sa jeunesse et les responsabilités que l’on lui fait peser depuis que l’écologie (bientôt le Brexit) est au programme scolaire. Nous nés entre 1995 et 2005 reprenons le pouvoir de nos vies, créons une société plus saine parce que l’on nous avons cet affront de souhaiter que la société se conforme à nous, to us. Exprimons-nous, partageons nos vies (terriblement banales) mais si intéressantes pour notre génération en construction de son identité. « Writing doesn’t confer importance. It reflects it. » Little Women (2019). A common thing may resonate for one so let’s talk about us !
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